401 km dont 367 km en secteur sélectif.
La 2ème étape poursuit sa montée vers le Nord de l’Arabie Saoudite. Elle est sensiblement similaire, en matière de distance, à la première (367 km contre 319 km).
Si elle longe également les rives de la mer rouge vers le nord, cette spéciale devrait être davantage roulante. Peu de difficultés au programme mais des pistes très rapides.
Il conviendra de conserver les bons caps et ne pas se perdre avec la multitude de traces sur la piste afin de rejoindre sans encombre le bivouac de la 2ème étape à Neom.
Si l’endroit a un nom, il s’agit surtout d’une cité future, un projet pharaonique voulue par le Prince de 26 000 m2 dont une partie des travaux devraient s’achever en 2025. Les pilotes, eux, n’y verront – pour l’instant – que du sable.
Attention à la précipitation en autos
Les concurrents continuent leur remontée le long de la mer Rouge pour rejoindre la ville de Neom. Avec une majorité de portions roulantes, le challenge du jour est techniquement accessible. Mais les spécificités de la navigation à la saoudienne commencent à se faire sentir. Il est temps d’apprendre à se fier à de nouveaux repères, quand les multitudes de pistes mènent à la confusion.
Dakar Expérience
Dès le premier jour, le Dakar n’a pas été tendre pour plusieurs concurrents qui n’ont pu rejoindre le bivouac d’Al Wajh dans les temps. Mais les concurrents ayant abandonné sur problème technique ont la possibilité de reprendre la course dès le lendemain. Un règlement ‘Dakar Expérience’ réservé aux amateurs qui ne font alors plus partie du classement.
Zala ouvre la voie
La première auto partira à l’heure en spéciale. Après son joli coup de la veille, la pression est sur les épaules de Vaidotas Zala (9h 20 – + 2 heures par rapport à la France) qui s’élance 3 minutes devant Stéphane Peterhansel et 6 minutes avant Carlos Sainz. Il sera intéressant de voir si le Lituanien pourra confirmer sa performance de la veille…